Méditation au portes de Suna
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Méditation au portes de Suna
par Fuku Watanabe Jeu 19 Mar - 9:47
Méditation personnelle
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La jeune femme se tenais assise au sommet d'une des murailles du village, contemplant le levé du soleil comme elle le faisait chaque jour. C'était un spectacle qu'elle ne raterait pour rien au monde. Malgré le climat aride ce préambule de début de journée restait magnifique et incontournable et chaque réveil de l'astre flamboyant était unique. Les brises de vent venaient caresser son visage et faire danser sa chevelure dorée, libre de tout accessoire étreignant. Ses pensées se tournées vers sa destinée à Suna... Elle n'avait plus sa place à l'hôpital, des recherches à n'en plus finir. Et surtout, une ordure de première ordre à éliminer au plus vite.
Fuku s'amusait à dessiner les différents villages à l'horizon, imaginant les différentes spécialités dont chacun disposaient. Passant des denrées et plats spécifiques qu'il avaient coutumes de déguster, ainsi qu'à la faune et la flore qui s'y trouvait. Il n'est pas exclus que la jeune femme ai envie d'entamer un voyage spirituel à la fois pour se prouver à elle même qu'elle le peu, mais également afin d'étoffer ses recherches et gagner des souvenir dans le but d'avoir des aventures inédites à raconter !
Mais alors comment. Comment retrouver sa joie de vivre ? Dans sa vie, la Kunoichi avait trois joyaux principaux. Deux d'entre eux lui ont été enlevé... Seul les travaux de ses parents étaient encore en sa possession, voilà son seul héritage...
Son regard se porta vers le ciel. Au mouvement continuel de ses yeux, il était facile de penser que la jeune cherchait ses anges gardiens, ses bonnes étoiles :
« Père, Mère... Où que vous soyez, je vous vengerais ! »
Fuku Watanabe- Messages : 9
Date d'inscription : 11/03/2020
Re: Méditation au portes de Suna
par Adachi Tatsu Sam 21 Mar - 2:29
« Vous me faites chier avec vos tours de garde là ! » Annonçais-je aux shinobis face à moi. Nous étions dans le hall d’accueil du bureau du Kazekage où j’avais été convié pour être mis au courant d’une future mission à haut risque. « C’est bon Adachi, tu te plains alors que tu le fais deux fois dans le mois, te fou pas de la gueule du monde non plus ! » Répondait l’un de mes compatriotes l’air agacé par ma réaction. » Tu sais à qui tu parles comme ça ? Bien sur que tu sais, t’en as une belle paire pour un gars qui a échoué trois de suite à l’examen Chuunin ! Fais-toi petit, je te bouffe en une technique. » Rétorquais-je, je connais vaguement mon interlocuteur et c’est pourquoi j’attaquais là où ça faisait mal. Piqué dans son égo, il se mit à serrer les poings prêts à me bondir dessus avant qu’un garde n’intervienne pour l’éloigner. Se faisant escorter jusqu’à la sortie, il continuait de me fixer ce débile, rien de mieux qu’un sourire narquois et un clin d’œil pour le faire encore plus sortir de ses gongs.
« Bon allez, je reviens ce soir pour mon tour. » Annonçais-je avant de repartir en direction de mes appartement, l’air de rien. Les citoyens présents avaient l’air quelques peu embarrassés par la scène à laquelle ils venaient d’assister, mais ce n’était pas mon problème.
La nuit tomba, des gardes jouaient aux cartes dans la salle de pause, d’autres patrouillaient sur les remparts comme moi. Rien d’alarmant ne se déroula ce soir-là, voila pourquoi je détestais cette activité à la con !
Quelques instants avant le lever du soleil, j’aperçu une silhouette au loin s’installant sur nos murailles. Fronçant un sourcil, je me mis en route dans cette direction. « Eh les gars, je reviens ! Y a une intrusion. » Tous se levèrent de leurs chaises, prêt à dégainer leurs armes et de bondir sur cette personne, guettant sa direction. « C’est bon Adachi, elle est là tous les matins elle vient de chez nous. »
« Ah ouais ? Bah je n’en ai rien à foutre enfaite. Mêmes règles pour tout le monde, on m’oblige bien à venir ici avec vous alors que j'ai d'autres choses à faire que de rester planquer ici ! Allez, je fini mon tour de garde là-bas » Répondais-je avant de me diriger vers la kunoichi, déterminé à bien lui faire respecter le règlement.
« Hey, toi là-bas ! Je suis désolé mais faut pas rester-là, on est encore en heure de nuit théoriquement là donc personne n’a le droit de venir sur les remparts mis à part nous ! » Annonçais-je à la jeune femme à la chevelure dorée, assise tranquillement sur l’une de nos murailles.
« Bon allez, je reviens ce soir pour mon tour. » Annonçais-je avant de repartir en direction de mes appartement, l’air de rien. Les citoyens présents avaient l’air quelques peu embarrassés par la scène à laquelle ils venaient d’assister, mais ce n’était pas mon problème.
La nuit tomba, des gardes jouaient aux cartes dans la salle de pause, d’autres patrouillaient sur les remparts comme moi. Rien d’alarmant ne se déroula ce soir-là, voila pourquoi je détestais cette activité à la con !
Quelques instants avant le lever du soleil, j’aperçu une silhouette au loin s’installant sur nos murailles. Fronçant un sourcil, je me mis en route dans cette direction. « Eh les gars, je reviens ! Y a une intrusion. » Tous se levèrent de leurs chaises, prêt à dégainer leurs armes et de bondir sur cette personne, guettant sa direction. « C’est bon Adachi, elle est là tous les matins elle vient de chez nous. »
« Ah ouais ? Bah je n’en ai rien à foutre enfaite. Mêmes règles pour tout le monde, on m’oblige bien à venir ici avec vous alors que j'ai d'autres choses à faire que de rester planquer ici ! Allez, je fini mon tour de garde là-bas » Répondais-je avant de me diriger vers la kunoichi, déterminé à bien lui faire respecter le règlement.
« Hey, toi là-bas ! Je suis désolé mais faut pas rester-là, on est encore en heure de nuit théoriquement là donc personne n’a le droit de venir sur les remparts mis à part nous ! » Annonçais-je à la jeune femme à la chevelure dorée, assise tranquillement sur l’une de nos murailles.
Adachi Tatsu- Messages : 10
Date d'inscription : 03/11/2019
Re: Méditation au portes de Suna
par Fuku Watanabe Sam 21 Mar - 11:37
La kunoichi gonflait ses poumons d'air pur. Elle fermée les yeux profitant de la chaleur qui venait réchauffer son visage au beau matin. C'était son échappatoire, ça lui permettait de s'évader de son laboratoire et de se tenir éloignée quelques heures des l'oxygène artificiel. Fuku ouvrit de nouveau les yeux afin de profiter de se paysage apaisant, une vue qui tous les matins lui enlevé celle des murs froid et oppressant de son lieu de travail!
La stérilité de l'horizon montrée toute l'hostilité du pays du vent. très peu de personne parvenait à arriver jusque ici car, cette chaleur sèche empêchait à l'eau de stagner et sans une parfaite connaissance du terrain, il était extrêmement difficile de se réapprovisionner. Bien souvent le désert venait à bout des pauvres marchants qui débutés dans leurs activités. Nous disposions en quelques sorte d'une défense naturelle à tout épreuve.
Alors que Fuku était tranquillement assise, des bruits de pas semblait se diriger vers elle venant perturber son repos quotidien. A en juger de la silhouette approchant, l'homme semblait faire environs 1 mètre 80 et son corps était visiblement sculpté et entraîner pour parer à toute éventualité. Il était blond comme la jeune femme sauf que, les nuances de sa chevelure blonde était bien plus pâles et certaines mèches tiraient sur le vert. Quand il fut plus prêt, Fuku remarqua que le jeune homme avait deux tatouages sur le visage, parfaitement symétrique au niveau de ses yeux, ce qui ne l'aidait aucunement à avoir un regard moins arrogant. Deux mèches tombaient sur son visage, ce qui lui rajoutait une petite note d'intrépidité.
La jeune Watanabe cherchait dans sa mémoire. Cet homme ne lui était pas inconnu et pur cause, son ancien travail à l'hôpital lui avait apportait quelques petites informations sur les ninjas du village. Car en effet nombreux d'entre eux avaient un dossier médical. Bien évidemment le personnel hospitalier était tenu au secret professionnel et beaucoup d'information était scellé et censuré en sorte qu'en cas d'attaque, le village garde ses zone d'ombre.
« Hey, toi là-bas ! Je suis désolé mais faut pas rester-là, on est encore en heure de nuit théoriquement là donc personne n’a le droit de venir sur les remparts mis à part nous ! »
Ce qui était certain c'est que l'homme en question avait du caractère. Sa voix montrait clairement de l'autorité, il parlait fermement avec un ton bien tranché :
- Bonjours Adachi, n'est-ce pas de cette manière qu'on entame la discussion, en se présentant poliment? Je sais qu'on est encore en heure de nuit, en revanche ce que tu n'as pas l'air de savoir, c'est que j'ai tout autant le droit d'être ici que toi. Il est inutile de montrer autant d'animosité entre ninja de Suna.
La stérilité de l'horizon montrée toute l'hostilité du pays du vent. très peu de personne parvenait à arriver jusque ici car, cette chaleur sèche empêchait à l'eau de stagner et sans une parfaite connaissance du terrain, il était extrêmement difficile de se réapprovisionner. Bien souvent le désert venait à bout des pauvres marchants qui débutés dans leurs activités. Nous disposions en quelques sorte d'une défense naturelle à tout épreuve.
Alors que Fuku était tranquillement assise, des bruits de pas semblait se diriger vers elle venant perturber son repos quotidien. A en juger de la silhouette approchant, l'homme semblait faire environs 1 mètre 80 et son corps était visiblement sculpté et entraîner pour parer à toute éventualité. Il était blond comme la jeune femme sauf que, les nuances de sa chevelure blonde était bien plus pâles et certaines mèches tiraient sur le vert. Quand il fut plus prêt, Fuku remarqua que le jeune homme avait deux tatouages sur le visage, parfaitement symétrique au niveau de ses yeux, ce qui ne l'aidait aucunement à avoir un regard moins arrogant. Deux mèches tombaient sur son visage, ce qui lui rajoutait une petite note d'intrépidité.
La jeune Watanabe cherchait dans sa mémoire. Cet homme ne lui était pas inconnu et pur cause, son ancien travail à l'hôpital lui avait apportait quelques petites informations sur les ninjas du village. Car en effet nombreux d'entre eux avaient un dossier médical. Bien évidemment le personnel hospitalier était tenu au secret professionnel et beaucoup d'information était scellé et censuré en sorte qu'en cas d'attaque, le village garde ses zone d'ombre.
« Hey, toi là-bas ! Je suis désolé mais faut pas rester-là, on est encore en heure de nuit théoriquement là donc personne n’a le droit de venir sur les remparts mis à part nous ! »
Ce qui était certain c'est que l'homme en question avait du caractère. Sa voix montrait clairement de l'autorité, il parlait fermement avec un ton bien tranché :
- Bonjours Adachi, n'est-ce pas de cette manière qu'on entame la discussion, en se présentant poliment? Je sais qu'on est encore en heure de nuit, en revanche ce que tu n'as pas l'air de savoir, c'est que j'ai tout autant le droit d'être ici que toi. Il est inutile de montrer autant d'animosité entre ninja de Suna.
Fuku Watanabe- Messages : 9
Date d'inscription : 11/03/2020
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